Case study : le pari réussi de Studio 28.03 avec swissQprint

C!Print - impression numérique - Le 05/09/2017

Le Studio de production graphique 28.03 a fait confiance à swissQprint et à son Impala pour accompagner sa stratégie de développement. Emmanuel Branger, son dirigeant, nous explique pourquoi.

Passionné de technique et spécialiste de la retouche couleur haut de gamme, Emmanuel Branger a créé Studio 28.03 en 2008 à Saint-Denis, aux portes de Paris. Au départ, il proposait essentiellement de l’exécution et de la gravure, puis les commandes se sont multipliées et il a fallu investir. Aujourd’hui, Studio 2803 est composée d’une petite équipe de quatre personnes qui assure le prépresse, la retouche image, l’impression écosolvant et UV à plat ainsi que la pose. Côté équipements, la ministructure a tout d’une grande puisqu’elle est équipée d’un ERP, d’une GPAO, et de solutions d’impression de pointe, avec notamment une Impala 2.

Passer un cap

Studio 2803 s’est d’abord équipé en traceurs écosolvant, mais les volumes importants en contrecollage et les pics de production étaient parfois difficiles à gérer. Emmanuel Branger comprend que son entreprise doit passer en cap, aussi bien en production qu’en chiffre d’affaires.  Il décide d’investir dans « une vraie machine de production en UV. »
Après plusieurs tests, son choix se porte sur l’Impala de swissQprint. « Les spécificités techniques de l’Impala — jusqu’à 180m²/h, une zone d’impression de 2,50m x 2m, 4 à 9 canaux, une option rouleau, du multicouches, du vernis à effes, etc.) — m’ont bluffé, confie le dirigeant, qui avoue aussi avoir été refroidi par le prix de la presse au départ. C’est pourtant ce modèle qu’il choisira car « en tant qu’opérateur, l’Impala était sans conteste celle sur laquelle j’aurais préféré travailler. »

Prix facial contre coûts masqués

Emmanuel le financier a néanmoins sorti sa calculette avant de prendre sa décision. Sur un tableau Excel, il a fait ses comptes : coûts masqués comme le contrat de maintenance, évolutivité réelle, coûts des options éventuelles, ratio prix/vitesse au m2, ratio prix/durée de vie, etc. Sa conclusion est sans appel.

« En prenant en compte ses multiples éléments et en me projetant à quelques années, j’ai préféré faire le pari – argumenté grâce au tableau comparatif – d’une imprimante très évolutive qui grandirait avec nous et s’adapterait à notre croissanceDe plus, la société swissQprint est reconnue pour proposer des machines industrielles très fiables, ce qui a facilité le dialogue avec mon banquier. »

Un point fort de l’Impala est de permettre à l’imprimeur d’investir dans une machine simple têtes, donc plus économique, tout en gardant la possibilité de basculer ensuite en double têtes. C’est le choix que fait Emmanuel Branger :

« J’ai dit banco et commencé avec de petits volumes avant de monter en puissance, mais l’idée de pouvoir doubler la capacité de production pour un coût minime était séduisante. Disposer d’une machine évolutive sur des marchés qui sont très fluctuants, comme c’est le cas actuellement, est un incontestable atout. De plus, l’équipe de swissQprint m’avait garanti un basculement en double têtes rapide et sans souci. »

Productivité multipliée par deux en 48 heures 
Et c’est ce qui arrivé… Depuis un an, Studio 28.03 est passé en double têtes. « Nous travaillions à cette époque en flux tendus avec un planning totalement full et un client me contacte pour un très gros dossier, se souvient Emmanuel Branger.

Impossible de le traiter dans les délais qu’il exigeait et pas question de sous-traiter, nous tenons à maîtriser totalement ce qui sort de l’atelier. J’ai donc téléphoné à l’équipe de swissQprint le vendredi à 18 heures, en leur demandant s’ils pouvaient s’engager à ce que l’Impala soit opérationnelle en double têtes pour le jeudi. Le mardi, ils m’ont dit d’accord, se sont organisés et à 14 heures, le jeudi, je repartais avec une « nouvelle » machine et j’assurais la commande. Les 3 500 plaques de plexi étaient livrées au client lundi matin sans que le reste de la production ne soit perturbée ! ».

Studio 28.03 avait opté au départ pour une configuration quatre couleurs + blanc + vernis. « Le doublement des têtes nous a donné l’opportunité d’ajouter une cinquième tête pour disposer d’un second blanc, que le technicien a installé dans la foulée sans coût important ni arrêt machine supplémentaire. » Studio 28.03, qui avait démarré avec des bidons d’encre d’ un litre, est passé aujourd’hui à des bidons de cinq litres, qui correspondent à son utilisation plus intense de l’imprimante. « Il reste encore la possibilité d’ajouter des teintes light, voire dans l’avenir, de quadrupler les têtes. ». Une histoire à suivre donc.
Studio 28.03 travaille principalement pour des plateformes, des annonceurs en direct et des agences sur des secteurs d’activité extrêmement variés. « « Aujourd’hui, nous avons organisé l’automatisation maximale des opérations répétitives. Ce qui fait que uand un dossier arrive dans le flux… ça roule. L’humain n’intervient que pour apporter une valeur ajoutée. », conclut Emmanuel Branger.